• Les galères de Gisèle BONFILS

    Ce fut par l'intermédiaire d'une amie commune que madame BONFILS entra en contact avec moi cette fin de journée du mercredi.

    Elle insistait au téléphone pour que je passe la voir à son domicile après mon travail, c'était suivant le ton de sa voix, une affaire de la plus haute importance.

    Je l'appelais au moment où je décidais de quitter mon bureau et la prévenais que je serai chez elle un quart d'heure plus tard.

    C'est une femme brune, cheveux en arrière tenus pas un chouchou qui me prie d'entrer et me propose de m'installer dans le salon.

    Son intérieur est correct, des murs blancs, un halogène derrière un canapé d'angle, au fond de la pièce une table et six chaises bien rangées, une belle nappe colorée égaye cet intérieur.

    Elle va hésiter, parler de chose et d'autre, commencer par me dire : vous savez ce n'est pas facile de parler de ma vie privée, et pourtant..

    A la fin de notre entretien, plus d'une heure plus tard, je la quitte en lui promettant de lui adresser son devis pour la mission dont on a parlé.

    Je sors de l'immeuble complètement chamboulé par son histoire.

    De retour à mon bureau et après m'être posé, je réécris son histoire, reprend tous les détails, fait des plans et lui prépare son devis ...

     

    A très vite pour la suite.

     

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